Pourquoi dois-je écouter le cercle des secondes ?
Pourquoi l'heure devrait-elle être un signe pour moi le jour ou la nuit ?
Pourquoi ne peut-il y avoir une autre mesure pour les coups,
Une année beaucoup plus cubique et seulement deux ou trois mois le lundi,
Parce que quelqu'un pense que le printemps arrive
Ou des automnes gâchés par les signes du temps ?
Tu mens que l'été a une horloge ou l'hiver
La neige les traverse-t-elle en quelques minutes, la lune a-t-elle un gong à écouter ?
Ou les nuages ??attendent-ils que l'horloge de la tour leur signale ?
Et cette chair qui me fait avancer
Et cet esprit qui bourdonne tranquillement
Ça chatouille en un instant ?
Ou tout en soi
Il trouve un moyen, si je rêve lentement et tranquillement,
Si tu espères des éclairs dans la nuit,
Qui s'éloigne des faits ?
Qui se soucie de ce qui est aujourd'hui et de ce qui est demain
Quand parfois le passé revient,
Il nous tient dans ses bras, son cou et ses mains,
C'est une miette de pain quand le moineau saute
De l'un à l'autre,
Nous savons comment oublier, mais qui ne le sait pas ?
Qui les écrit pour les faire répéter quand l'homme meurt
Demain c'est l'herbe ou le coquillage
Écrivant sur le sable,
Nous avons chacun mille visages, un seul se révèle,
Pourquoi rendre compte maintenant de ce que je n'étais pas !
Pour ce que je voulais !
Pour ce que j'ai aimé et parfois détesté
Avec la peur cachée entre des sourires en coin, oui, laissez-le arriver !
Le jour où toutes les secondes sur la mer auront disparu
Et la montre devrait être pour les aveugles qui creusent dans le sel
Des nids d'oiseaux qui donnent naissance à l'immortalité,
En nous est tout l'édifice et de là rien ne crie !

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