La vie est au supplice et ne sait que sévir
Quand à même l'histoire en fait la confidente
En rendant la doctrine un peu trop dissidente
Alors que la tension en consent à pâtir.
C'est que la haine la pousse à se revêtir
De ce semblant d'espoir pour se faire intrigante
Et ainsi molester qui la veut avenante
Alors que l'amour est seul à ne pas punir.
Mais quelle leçon à retenir de la guerre
Sinon qu'elle est un feu dans un profond cratère
Et en superficie une lame sans fond.
C'est dire que dès la toute première vague
Il y a un sanglot qui déjà en divague
Pour ne plus s'en tenir qu'à la première action.
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La poésie n'a d'autre perspective que d'ouvrir l'imagerie mentale qui est la porte de l'imaginaire.
(citation personnelle)