Sur une allée parsemée d'embûches
Quand ne le sied sa greluche
Son état d'esprit s'associe et s'aligne
A celui des sabines
Son coeur clavé sourit, il s'en faut
A l'image qui choit du claveau.
Et du fantasme abîmé par a coup
Jaillit l'espoir d'un coup
Qui convoque ce concile des proses
Et il voit la vie en rose.
Elle se tient comme celle d'Arnofini
Dans un office défini
Oú l'époché de la souffrance se lit
sur tous les visages réunis
A une cérémonie sacrée et rituelle
pour sa quête perpétuelle
Entre les feuilles d'acanthe et volutes
Se joue de la flûte.
Et ils s'installent sur leur dais nuptial
Lors d'un instant lustral.
Les convives et des regards alentours
S'agitent et font un tour
Sur les tables d'un banquet d'apparat
En savourant le repas
Celui d'un homme qui s'institua utile
Pour une fille nubile
Et se lie intimement au beau voyage
C'était un joli mariage.
M.A.A
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« Quand tu auras désappris à espérer, je t’apprendrai à vouloir » Sénèque.