Sa vie bien tourmentée
L’avait de marbre, forgée.
Ses traits étaient épais
Et de vie il parlait.
Il vivait dans cette rue,
Dernière maison, reclus.
Il n’aimait être vu,
Et guère, les inconnus.
Il était de ces gens,
Qui sont très peu causant.
Et pas vraiment souriant,
Mais pourtant pas méchant.
Il avait un gros chien,
Qu’il appelait « bon à rien »
Car un chat, un lapin
La bête s’en fichait bien.
Il était comme le temps,
Juste un simple passant.
Laissant parler au vent,
Ses sentiments troublants.
Il est, de ces mystères
Innombrables sur terre.
Je lui dédie ces vers.
( un enfant à son père )
Thy
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C'est toujours celui qui n'a plus rien qui est prêt à tout donner... à méditer.