Ô l’arôme des algues qui poussent dans le sel
Et cette châtaigne qui féconde un oursin
Dites moi est ce que c’est réel
Ce songe qui déchire les voiles de mon destin
A la dérive au hasard au ciel avec ses étoiles
Je ne suis qu’un grain de la poussière astrale
Au gré des vents et les nuages qui portent l’eau
Mon âme refusera toujours un corps et un caveau
Gros bisous
:
Mozart