A la Grande-Motte, ce soir, nous discutâmes toi et moi . ( écrit instantané).
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Tout poète aime écrire sur l'amour,
Et moi, moi, en modeste scribe,
J'écris mon amour pour Gisèle.
Bien-sûr, sur l'histoire universelle,
Et sur la nature, l'âge de fer et les déséutudes,
Sur la Riviera, sur Cassis, sur Fréjus.
Tiens ! sur Menton et son citron,
Sur Le beau sud et les cigales.
J'écris sur la rose solitaire,
Comme sur un léopard ou un guépard,
Détalant devant une hyène ou des chacals à  chabraque.
J'écris sur le petit Omar,
Et sur la vociférante Aini, sa mère,
Comme le décrit, dans sa trilogie,
Un Mohamed Dib, écrivain Algérien,
De renommée et prestige internationaux.
J'entends par ces métaphores basiques,
Que la littérature est plurielle,
Et que personne ne peut la revendiquer.
Parce que mondiale, comme les fables de la Fontaine.
Comme nous les humains, on adhère à une patrie,
Et on use du mot patriote du matin au soir,
Voulant cloisonner l'esprit dans une lande,
Alors que nous sommes tous frères,
Et aucune Frontière nous sépare.
Nous sommes tous apatrides dans un monde morbide.
Ma promesse est d'exhausser ton voeu chère Gisèle !
Quand traduisant ton précieux désir,
Celui qui sur le site, tu tardes à revenir.
Tu verras et tu vois d'ailleurs, que c'est une douce Oasis,
Avec son eau fraîche et deslterante ondulant à travers Foggaras*
Des fleurs multicolores : Jasmins, fleurs d'orangers et roses,
Dattiers, et figues de barbaries, celles-ci sont rares,
N'aie crainte ! Leurs épines sont inoffensives,
Tout comme les dards des faux bourdons ou folles abeilles !
En manque de nectar par periode de canicule exacerbée,
Que même Hermes renvoie ses vigiles !
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© Salah..... 070723
Foggara*
signifie galerie souterraine servant à l'irrigation, au Sahara.
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Quand on a l'esprit élevé et le cœur bas, on écrit de grandes choses et on en fait de petites.
Albert Camus
Gisèle ! Ton retour sur Oasis, à quand ?