TU ÉTAIS MA SEULE FAMILLE...
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Ton cœur et le mien savent qu'on se revoit,
Peut-être, demain, le mois prochain ou dans une année,
Notre mutisme est ainsi dicté par la fatalité,
Ils est assujetti à notre destin et à notre choix.
Ne nous disons pas adieu!
Tes rires résonnent encore et à jamais, ils ne sont oubliés,
Sont-ce des larmes ou une poussière ?
Celles qui suintent sur tes joues fanées !
Sont-ce des cristaux de bonheur ou de malheur ?
Aujourd'hui, je marche sous la pluie, parfois sous le soleil,
Je ne sens rien, je deviens immunisé.
Seule ton image s‘étale en grand format au firmament
Je ne vois rien, sauf ton ombre et ta silhouette.
Les stigmates de la tristesse sont trop profondes.
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Alors,ne dis jamais adieu.
Mes songes sont sertis de ton souffle paradisiaque,
Tu es omniprésente et constamment, en mon cœur vivante.
Sais tu que pendant les derniers mois,
J'ai essayé de te haïr, t'oublier,t, à même t'éradiquer !
Mais la réalité impose son édit et ses règles,
Je n'ai pu t'oublier un instant,
Je n'ai su te détester ou m'en passer de nos engagements.
Tu es là comme je t'avais connue et côtoyée,
Tu étais ma seule et unique famille.
Après ton départ,.même les démons t'ont pleurée!
Ta place de choix ne sera jamais remplacée;
Cette place que tu occupais avez mérite et solennité.
Tu étais ma patrie et mon coin douillet,
Celle qui m'a fait oublier mes déboires
Et a pris ma main jusqu'au carrefour de notre au revoir !
©Slalah
le 11 Août 2019
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Quand on a l'esprit élevé et le cœur bas, on écrit de grandes choses et on en fait de petites.
Albert Camus