Varenne, sur le lac Côme...
Esprit confraternel...
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Je ne suis pas un religieux qui martèle ses ennuyeux prêches,
Mais j'aime louer la confraternité jusqu'à sa plus petite mèche.
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Il paraît aux adeptes de la parole irréfléchie et volatile,
Que les mots sont d'une tonalité spontanée et futile.
Humains que nous sommes, on est changeants tels les nuages,
Ou des papillons qui volettent sans péage, à travers les infinis paysages.
À dessein, on a transgressé les bonnes manières de les avoir jetées aux calendes,
Et l'on voit notre humilité se vaporiser petit à petit de notre monde.
Le jour où on apprend à accepter avec courage nos tares et nos défauts,
On vivra sans rixes, sans heurts et on partagera les mots les plus beaux.
Si on regarde bien autour de nous, nous pourrons tater la divine vérité,
Celle que le créateur suprême a préconisé dans ses édits assermentés:
La bonne tenue, l'éthique, la fraternité, le sourire et le soutien,
Principes primordiaux et fondamentaux dans nos rapports quotidiens.
Sciemment, je lance un appel, celui de resserrer les rangs et de honnir le mépris,
Car la vie est courte et le mal doit-être non seulement éradiqué mais puni!
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©Salah ....................Le 27012020
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Quand on a l'esprit élevé et le cœur bas, on écrit de grandes choses et on en fait de petites.
Albert Camus
Varenne, sur le lac Côme...