Plume d'or Inscrit le: 21/9/2013 De: |
L'inquiétude la mère Noel Dis donc, mon père Nono, gueulait la mère Noel Que fait tu le 25, du dernier mois de l’An Tu vas me laisser seule tels deux ronds de flan Pendant qu’avec tes rennes tu fais le tour du ciel. D’autant que chaque année, c’est la même constance, Manquant de personnel, pour livrer tous les gnards Tu pars à la luisante, bien plus tôt que plus tard Revenant à la taule, rincé jusqu'à la frange
Demande un coup de pogne, auprès de ces ramiers Retraités à deux balles, ces bouffons, ces cossards, Qui posent sur la toile, ancêtres scribouillards, Des poésies minables, au lyrisme anémié.
J’en sais un en Touraine, qui carbure au pinard Se prétendant sportif, qui ferait bien l’affaire Pas futé, pas malin, mais contre quelques verres Te filera la patte, ce fieffé connard !!.
Ainsi Le kajoleur, dans la nuit féerique, Vêtu de l’habit rouge connut l’insigne honneur, De livrer les cadeaux en temps et bien en heure Dans lesquels il glissa une douce supplique.
C’est pourquoi à Noël, tous les enfants très sages Dans leurs petits souliers trouvèrent ce message: ‘’Les câlins ont été inventé, pour montrer A Maman que tu l’aimes, sans avoir à parler’’
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