L'écriture c'est une villégiature...
Une face de Requiem.
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Les blessures en strates refusent la suture,
Même si le corps se plie aux meurtrissures,
Se nourrissant de la nostalgie des belles aventures,
Quand l'amour romantique était notre devanture.
Certes le temps est volage, changeant de parures,
Quand les imprévus imposent les déchirures,
Mutant les nobles sentiments en une géhenne de forfaiture,
Voilant nos yeux pour ne pas voir en grand mais en miniature.
Dans le désarroi, les souvenirs ressurgissent des lectures,
Omnipotents, ils rajoutent brûlurE sur brûlures,
Telles des laves d'un volcan, fondant tout de leur éraflure,
Quand, parsemées ça et là dans notre adorée mère nature!
Ma mémoire se remplit d'espérances et de visions futures,
Peinant à jeter du lest de l'Ersatz d'un amour en désinvolture,
Cherchant à ne plus faire de ratures quand elle se désengage du parjure,
Sommant de clairvoyance sa qualité d'être pure et sûre,
Quant au terme de sa quête drapée dans une solide armature !
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© Salah......  Le 18/04/2017
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Quand on a l'esprit élevé et le cœur bas, on écrit de grandes choses et on en fait de petites.
Albert Camus
L'écriture c'est une villégiature...