Ne jette pas l'opprobre....si brutalement sur l'amour!
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J'ai arrêté d'écrire ,
Ce fut par une ténébreuse nuit,
Le besoin en fut non avenu.
Tu étais mon poème ,
Longtemps ,
J 'étais insoucieux de ta lassitude,
Aujourd'hui ,
Tu ne m'inspires plus les belles rimes.
J'ai toujours cherché ,
La notion d'un bonheur réel
Ce bonheur qui ne viendra jamais à nous,
Mais il vient de nous, me dis-tu !
Je refusais d'obtempérer ,
D'arrêter mes turpitudes ,
Ô combien indécentes ,
Inconscient ;
Quand dans des marais impurs, je pataugeais.
Au milieu de mon parcours effréné ,
J'ai fait une halte :
J'ai tout mis à part ,
J'ai endossé une nouvelle armure ,
Inoxydable et inaltérable ,
Et je suis parti à pas agencés,
Vers une autre galaxie étincelante.
Sur le perron de notre vieille masure,
Silencieuse, tu me voyais m'en aller .
Sans mot dire,
Tu as compris que le chapitre arrive à son terme .
Mon dernier regard aussi furtif ,
Se souviendra de tes larmes qui coulèrent,
Sur tes belles joues roses ,
Prélude d'une aube nouvelle ,
Où j'écrirai à nouveau une autre prose ,
Avec Ta même plume que tu m'as léguée du temps jadis ...
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© Salah.......... . .07062018
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Quand on a l'esprit élevé et le cœur bas, on écrit de grandes choses et on en fait de petites.
Albert Camus