Dans l'ombre de mon âme, des nuages noirs s'étirent,
Ma peur serpente, l'angoisse m'envahit.
Au fil des jours, mon ennui tisse sa toile,
Un manteau sombre, une prison qui dévoile.

Ma peur, comme un écho, résonne en silence,
Un frisson glacial, une inquiétude immense.
Redouter le recommencement, l'incertain,
L'inconnu qui surgit, mon âme reste en suspens.

L'ennui, un poids qui m'écrase l'inspiration,
Une monotonie, une lente destruction.
Dans le vide des jours, ma créativité se meurt,
Et l'ennui s'installe, semant la douleur.

Ma colère, un feu qui brûle en moi,
Des flammes sombres, des cris étouffés par l'émois.
Ma crainte de la rage, de mon déchaînement,
Dans le miroir de mon âme, un tumulte évident.

Mes ombres dansent, révélant mes peurs cachées,
Des flambeaux d'obscurité, mes pensées sont égarées.
Au cœur de la nuit, Ma peur se fait plus noire,
mes angoisses, des murmures, une chanson de désespoir.

Mais je n'oublie pas, même dans ces nuits obscure,
Il existe une lueur, une étoile qui perdure.
J'affronte mes peurs, éclaire les coins sombres,
Car en moi réside la septième force du nombre.

je me lève, tel un guerrier à l'âme tourmentée,
je brise mes chaînes, renverse ma destinée.
Dans l'obscurité, je crée ma propre lumière,
Tout en dansant avec mes peurs, je deviens un poète solaire.