Jouer à la marchande
Même quand on est grandes
permet le partage
même sans étalages
vendre l’inutile
un dimanche d’avril
parfois en centre-ville
n’est pas si futile
voir les badauds
qui prennent leur temps
pour toucher les bibelots
et même les vêtements
dans l'atmosphère bon enfant
on savoure chaque moment
et le partage d'une clientèle
nous fait pousser des ailes
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Geneviève