Plume de soie Inscrit le: 1/4/2007 De: |
"l'hirondelle et la montagne " "La montagne ":
Petite hirondelle dit moi ou tu pars ! Toi qui vois encore plus loin que -la lumière de- ce far
J'aimerais bien être comme toi libre dans les airs Pour changer ma destiné fuir mon malheur
L'hirondelle":"
Grande mère la montagne qu'est ce qui vous tracasse Je vous vois toute pale je vous vois lasse
Pour répondre à votre question je suis une voyageuse Au gré du temps et du vent chantante et joyeuse
" la montagne":
J'ai reçue hier, la visite d'une légionnaire Porté par le vent voyageuse, solitaire
Une graine qui vins a moi de la famille Orchidées Apres avoir pris par les airs le chemin des voiliers
Elle ma conté un endroit ou la nature est maîtresse Ou l'homme n'existe pas ni ses tords ni ses bassesses
" L'hirondelle":
Je doute qu'un paradis pareil subsiste Je parle en connaisseuse, exploratrice au grand mérite
Aussi loin que je me souviens les hommes étaient la Irrigants leur bâtisses faisant sonner leur glas
Les nobles verts d'entres eux, sont dirigé par des cons Abatteurs d'arbres, adaptes du nucléaire, des poltrons
Ils se fichent de la nature, de ses bienfaits, de ses droits Changeant en gris les couleurs des verts endroits
Ah si seulement l'orchidée disais vrai, si elle avais raison Je démissionnerais, et la bas construirais ma maison
Mais a ma maison je préfère mon statut d'ambassadrice Car avec nos actes, on fait face aux sombres caprices
Comme le vent et mes congénères, fidèle a ma mission Allié de la nature, confrontant l'homme a ses dérisions
Ta place est la grand-mère,une forteresse du vert Oublie ce béton,et que l'homme vois en toi des vers
"la montagne" :
Et bhe ma petite, moi qui me croyais seule en peine Je vois que toi aussi de grands chagrins tu traînes
J'avoue que ta sagesse dépasse la mienne T'es mots réconfortant irrigues mes veines
A nous ce combat et restons à nos postes N'aidants pas l'homme en fermants toutes les portes
Et que t'es mots volent avec le vent vers ces esprits Et que chaq'un s'empreigne pour éviter a la nature tout mépris
fin
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