Où étions nous quand nos cieux sans fin furent tendus ?
Tel un ciel de velours Klein, au néant suspendu
Brodés d'étoiles d'or et de comètes d'argent...
Où étions nous nous les humains insignifiants ?

Où étions nous quand la terre se mit à tourner
Dans un somptueux ballet qui exalte la vie ?
Où étions nous lorsque nos rivières ont chanté
Dévalant monts et collines en charivaris ?

Et Où étions nous quand apparaissant en tous lieux
Faune et flore, jouèrent à nous émerveiller ?
Où étions nous pendant que des oiseaux merveilleux
Adroits concertistes vinrent rythmer nos journées ?

Où en sommes nous stupides habitants parasites
Qui détériorons la planète sans vergogne ?
Où serons nous quand partout une terre en faillite
Ne nous laissera que des débris et des charognes ?

Sommes nous conscients ? conscient qu'il est grand temps ?
Oui, grand temps de réagir, sur nos pas revenir ...
Que voulons nous laisser à nos enfants? de l'argent ?
L'argent ne se respire pas! Il va nous détruire.

Soyons là, protégeons de ce pas l'humanité
Ne laissons pas la cupidité nous endormir

J'ai entendu dire que la race humaine était en régression
Dans les pays dit civilisés


C'est plutôt une bonne nouvelle
Ce retour en arrière

Je suis assez pour
De cesser notre accroissement

Un très beau plaidoyer pour la planète, qui en a bien besoin !

Mais de mon point de vue, c'est trop tard : on n'arrête pas une locomotive lancée à toute vitesse...

Bonsoir madamechipie, très bel appel poétique

Amicalement

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La poésie, c'est comme la cuisine, le mot faitout

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Bonsoir ma Chère Amie poétesse Madamechipie,

Je suis ravie de ton retour parmi nous toutes et tous !

Superbe poésie pour la sauvegarde de notre chère planète !

Je me joins entièrement à tes mots !



Belle soirée Chère Amie poétesse Madamechipie !
Toutes mes amitiés
Gros bisous
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)

Oui, réveillez-vous, vous n'êtes point seule et un "r" au dernier mot du dernier vers serait un plus je pense !

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Bonsoir Madamechipie

Oui quel héritage laissons nous à nos enfants, petits enfants, une terre en péril dont nous sommes responsables. L'avidité des humains ne cessent de grandir... Les plaies sont là et bien profondes. Tentons de sauver ce qui peut l'être encore.

Belle plaidoirie

Amicalement Franie

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réveillons nous et vite !!!!!!
ça urge...

si on peut encore sauver ce qui peut être sauver...
essayons... même si ça n'est pas gagné..
mais à ne rien tenter...sûr que rien ne sera sauvé...

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Très belle poésie faisant écho. Magnifique plaidoyer.

Une "chipie" qui dit ce qu'elle pense avec autant de brio ...J'aime

Bon dimanche.

Mes amitiés

Michèle

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La vie est belle il faut savoir l'apprécier.

Je trouve votre poème magnifique par sa profondeur et Vérité, sa sensibilité et sa sagesse, un Grand Merci pour ces mots, même si moi je ne pense pas que l'on puisse faire marche arrière, simplement avancer en évitant le pire, avec le poids de nos erreurs et l'envie de semer au coeur et avec coeur.

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Brin d'harmonie,
en toute Amitié.