Il ne connaît que la rue, que la jungle urbaine Ses parents sont morts, pour ami qu’un mendiant Chaque matin, il faut plier bagages et cartons Partir chercher un abri pour la nuit prochaine
Ce n’est pas la joie de vivre dans les rues Le danger est constant et partout, c’est la survie Il faut trouver à manger et principalement à boire Car dans l’alcool tout est bon, surtout l’oubli
"On choisit pas ses parents, on choisit pas sa famille On choisit pas non plus les trottoirs de Manille De Paris ou d'Alger Pour apprendre à marcher" (Maxime Le Forestier)
Merci pour ce partage intense , d'une plume de talent Amicalement, Rosaly