A deux pas de mon cœur .
Je marchais tranquillement
Rêvassant en sifflant .
Pas très juste je l’avoue
Je sifflotais surtout .
Un air bien peu connu
Que j’avais entendu
Mais qui se répétait
Alors je sifflotais .
Tu étais là assise.
Mais pas vraiment conquise .
En fait tu rigolais
A cause de mon sifflet !!!
Tu m’as dit gentiment
« C’est un air entraînant »
Et siffler le matin
Ça fait vraiment du bien.
Et tu me dis encore,
Que ma voix Vaut de l’or,
Petit sourire en coin
C’était un brin taquin.
Depuis nous sifflotons
Tout deux a l’unissons .
Des airs de bonheur
A deux pas de nos cœurs .
Thy
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C'est toujours celui qui n'a plus rien qui est prêt à tout donner... à méditer.