Repeint l'azur, ce tangible silence en droiture préséance
Pailletté d'élite du rêve, Ô notes vectrices de prédicance
Plaisir d'une noce évidente, sérénade du bel acte lunaire
Sublime ce réconfort en l'apothéose de l'amour séculaire...

Repeint l'azur, ce tangible silence en droiture préséance
Comme le cœur traçant sa joie de lumière d'obéissance
En vérité humble de sentier, la parole d'aquarelle sacrée
Un nu divinatoire pour répertoire ivre de résistance irisée...

Repeint l'azur, ce tangible silence en droiture préséance
Nature d'un bonheur coule en arc-en-ciel de flamboyance
Les états embrassent la vibration ouvrant l'aile profonde
Rougie fièvre d'heure chaude au prestige des mondes...

Repeint l'azur, ce tangible silence en droiture préséance
Du charme de l'attrait enivrant l'éclat des complaisances
Au transport d'un air, palette en sa féerie que l'on projète
Câlins or en essor fructifier à l'aube nos virtuoses quêtes...