Il aime et toujours, la caresse d'une branche. De sa paume et doigts, il la pare pour sa fête. Au labeur, et au bonheur de l’Art, le poète D'un regard au fond, au plus profond, il se penche
Sur son pouvoir et la perçoit d'un balayage. Comme une âme, qui en son esprit le nourrit, Il donne un âge; à cette muse , qui sourit. D'un pas trop lent en l'air dansant, il est ce mage.