La science bien souvent n’a aucune ressource Devant des maladies toujours invalidantes. Tous les savants sont là , analysant les sources Mais le temps les trahit et toujours les supplante.
Il reste les prières du tout dernier espoir Pendant la solitude des nuits d’irradiations. Le tout dernier refuge, au calme, dans le noir Quand il n’y a personne, que larmes d’afflictions.