Coeur en tristesse
Je me rappelle de ta naissance
Je me rappelle de ta jeunesse
Ma colère devient tigresse
Perdue dans ce brouillard
Je m'accroche à cette vie de cauchemar
Toi qui me disais souvent maman, je t'aime
Je garde ton souvenir qui m'aide
Pour ne plus marcher le dos courbé
J'essaie de me redresser, malgré moi
Quand je pense à toi
Le mois d'octobre est un mois cruel à gérer
Me regardes-tu de là -haut ?
Tu me manques
Comme des minutes de silence
Comme un vide dans l'absence
Je te cherche dans mes images
Mais personne ne te ressemble dans mes pages
Pour ne pas affoler les autres
Alors je sors délicatement dans cette porte
Pour toujours William
Je ne t'oublierai jamais
Mon fils adoré que j'ai tant aimé
MB de la Martinique
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La poésie devient une amie à ceux et celles qui l'écrivent
Une de mes citations à tous