Loin sur un océan de solitude, loin du monde industriel, loin du monde et ses turpitudes, aussi loin que peuvent m’empoter mes ailes. Sur le dos d’une étoile, par delà la toile, au confin de l’univers, par delà l’horizon et ses mystères. Dans les bras du croissant lunaire, poursuivre le temps qui s’enfuit sur le cadran solaire, où personne ne m’entendra crier, où personne ne m’entendra pleurer. Dans le moindre recoin où fuir, là où s’égareront mes pas, là où à l’infini résonne ton rire, là où tu m’attendras. VIDEO Mise en page de Cyrael réformatée par Sybilla / Image web trouvée par Cyrael ---------------- La poésie, c'est comme la cuisine, le mot faitout 00063312-1