À chaque jour son chagrin immense...
Quand le souffle de ton premier Amour,
S'est éteint, un aller de fatalité sans retour.
Où des décennies de souffrance se meurt,
En ton âme, par une myriade de malheurs.
...
Ô ! Oui j'ai été maudit,
Mon esprit tourmenté en incendie.
Ô ! Gens du passé soyez heureux,
Sur ces lignes d'un malheureux.
...
Chaque jour se repense, en un pas,
Plus près des miens en état de trépas.
Ô ! Calme toi douleur, tu me rends ivre,
D'idées mortiféres, puis-je survivre ?!
...
Laissez-moi ! Faire mes points de suture,
Sur mes propres, béantes déchirures.
Comme un crève-cœur qui s'abandonne,
À la désolation ; où tout ce chantonne.
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mes recueils :
1
https://www.edilivre.com/un-temps-au-dessus-du-temps-2a2594e4cf.html
https://www.edilivre.com/un-temps-au-dessus-du-temps-2-2a25a45cff.html
2
edilivre /La rapsodie/