Quand le poète dessine de sa plume le corps de la femme
Il se saisit de jolis mots, c'est un voyage qu'il entame
Dans son regard il se perdra, pour découvrir sa beauté
De sa main, il soulignera le contour des ses seins galbés
Dans une esquisse, il nous fera découvrir son triangle d'or
Notre imagination se perdra avec douceur dans le décor
D'une chambre à la lumière tamisée et draps de satin
Chaleur d'été, ingénue allongée sur un lit à baldaquin
Avec de belles rimes, il fera une ébauche de ses fesses
Son bouton d'or, il nous en parlera avec tendresse
Qu'elle soit muse, maîtresse, épouse, concubine
C'est avec de jolis mots qu'une femme est divine
Merci à tous les poètes, qui avec leur plume
Rendent une femme la plus belle des déesses
Qu'il soit mari, amant, avant que se lève la brume
Parlez-nous d'amour, toujours avec délicatesse
Colombe