elle caressait son corps céleste purifié.
Car son onde est douce , et jamais ne se tarit.
Son visage m’apparut, avec des yeux émeraude attendris
Elle hantait mes rêves tourmentés, puis par un murmure balbutié :
Par la mer, qui caressait son corps céleste purifié.
Que j’aille ainsi en son sein, elle si amoureuse et inassouvie.
Vous teniez mon corps en haleine, dans mes songes crépusculaires,
Votre regard si paisiblement calmé, et votre prunelle d’amour si clair
Votre front de marbre,votre bouche, et tout votre visage.
Afin de m'attirer : puis quand je me vois pris.
Vous faites, sur mon moi déborder un orage,
Pour me faire sombrer, aux flots de là douce Cypris.
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