Inscrit le: 17/10/2007 De: |
Premiers écrits Tristes dans l’air Suave qui se réjouit au soleil, Brûlant dans la douce lave aux teintes vermeilles, Le contemplatif reste las, passif, Reste t-il une place pour lui sur le récif ? Embrassons le voyant à la langue pendue, Embrassons le reptile à la langue fourchue, Enfants de la pluie! Regardez bien l’immensité céleste, Vous ne verre plus le reste, Avez-vous vu votre destin ? Ressemblait t-il au drap de satin ? Ou peut être aux dessous d’une catin ? Moi je n’y ai pas vu d’étoiles, Juste le voile recouvrant l’ultime vérité à l’odeur fécale, En mon âme et conscience, Je réclame la pénitence, En mon âme et conscience, Je ne serai pas ta pitence, Ordre ou désordre, Maraude vagabonde, Cela n’a plus d’importance, Puisqu'ils nous escorteront jusqu’à la tombe, A la tombée de minuit, L'esprit prend forme et file dans la nuit sauvage, Semant une pagaille monstre dans le sinistre village, Brulânt les larmes,les visages, Puis je l'ai vue,elle, Qui a dit que les anges avaient des ailes?
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