Bravant la mer, buvant l'écume
leur seul courage pour tout bagage,
l'espoir au coeur, au ventre la rage,
les voilà seuls face au grande large.

On leur a dit: là-bas c'est mieux!
Ils sont partis vers d'autres cieux,
d'autres pays aux moeurs étranges,
mais avaient-ils vraiment le choix?

Ils ont laissé tous au pays
qui leurs enfants, qui une mère,
attendant d'eux leur à venir.
C'est beau de croire aux chimères!

Ils auront comme récompense
au mieux une vie de galère,
au pire et c'est souvent le cas,
une petite place au cimetière.

La fosse commune en s'y serrant
peut contenir bien des misères!

Bienvenue parmi nous avec ce poème qui exprime une juste vérité avec des mots qui vont droit au cœur.
HONORE

Triste destin que celui de nombre de clandestins qui leurrés par ce que la télévision leur montre des pays étrangers les prennent pour des paradis. que ne les aide t on à mieux vivre chez eux ?

adn

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Sombre et pessimiste mais plein de réalisme hélas ...

Très bien tourné en tout cas ! Merci à toi pour cette page de vérité.

très joli poème
tu décris très bien la funeste aventure des clandestins

ces clandestins ont quitté leur pays en guerre mais ici aussi ils risquent leur vie. Mais ils n'ont pas le choix.
biz

UN JOLI POEME QUI EXPRIME BIEN LA GALERE DES CLANDESTINS
AU PLAISIR DE TE RELIRE