Bouquet d’Opérettes
Je ne puis terminer, cette projection
Sans vous donner à lire, encore mon poème
Résumant un spectacle, empli d’émotion
Menant tout un chacun, vers le bonheur suprême.
Chanter le roi Arthur, valait bien la leçon :
Surtout ne bougez pas lorsque survint le masque !
Vous êtes enfermés, dans un très gros glaçon.
Plus personne dès lors, ne commettra de frasque.
Nous priâmes Woden, une coupe à la main
La tonnelle abritant, tous nos médianoches,
Nous refaisions le monde, sans penser à demain,
Des agapes de tsars, mijotant sur des broches.
Mais le drame couvait, frappant notre Diva,
Elle en perdit sa voix, ô combien merveilleuse
Laissant des orphelins, en mal de leur nova
Privés de Belle Hélène, et Veuve Joyeuse.
Brian deviendra donc, pour deux soirs Matador
Revêtant impromptu, l’étoffe coutumière
Pour un inoubliable, air du Toréador
Si présent sur la scène, en habit de lumière.
Czardas achèvera, mon récit musical,
Robin y fut bien-sûr, plus que resplendissante.
Partageant avec nous, lors du travail vocal
Toute son énergie, active et bondissante.
Mais la belle aventure, n’aurait pu voir le jour
Sans notre créateur, tombé dans la marmite.
Qu’il en soit remercié, par un juste retour
Lui qui nous donna tout, sans aucune limite.
Le 1er décembre 2007
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La Musique est une révélation supérieure à toute sagesse ou philosophie (Ludwig Van Beethoven)