Les immeubles ont poussé
là où était mon enfance;
mes souvenirs sont effacés,
un peu de mon existence.
Même la lumière a changé
ses claires plumes d'azur
en nuages enfumés,
plus d'espace au ciel si pur.
Echafaudages, tours élevées
en paravent du paysage.
Le bruit court en la cité
et la musique est sauvage.
Mon ombre ne s'est pas retrouvée
et j'en suis d'elle orphelin,
parmi la foule égarée
je poursuis seul mon chemin.
GALIA
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Il n'y a pas de chemin qui mène au bonheur....
....le bonheur est le chemin.