En la pénombre verte de l'aube
tu poses une main sur mon épaule
qui frémit mais qui se dérobe.
Tes doigts descendent en gestes diffus,
tu respires le souffle de ma bouche,
je pousse une plainte de refus.
Mais tu connais ce jeu par coeur,
et même si mon corps s'y résiste
tu en viendras à bout vainqueur.
Tu me domines, attentionné,
et tout en douceur tu dénoues
mes bras serrés, mes cuisses fermées.
Abandonnée, vaincue, offerte,
je m'ouvre complice à ton rythme
qui monte dans cette aube verte.
GALIA
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Il n'y a pas de chemin qui mène au bonheur....
....le bonheur est le chemin.