L'horloge me regarde, ses yeux inexorables.
En une trame cruelle le temps s'est égaré,
en maître absolu de ces silences coupables,
de regards en arrière, de rendez-vous manqués.

Je voudrais bien savoir où finit le chemin,
parcourant labyrinthe, j'en ai perdu la trace,
et c'est toujours son nom qui vient en lendemain,
en moments déchirés et souvenirs fugaces.

Combien de temps encore durera cette folie?
Pas celui des secondes, mais bien du désespoir
qui a tant ressemblance à celui de l'oubli.

Peu importe les peut-être, j'en regrette la vie.
L'horloge n'a pas réponse à tous ces au revoir,
juste juge du temps, et de mon agonie.

GALIA

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Il n'y a pas de chemin qui mène au bonheur....
....le bonheur est le chemin.