Il y a déjà quelques nuits
expulsé de mon navire
ne m'habitue pas au bruit.

Ma poitrine s'agite, produit,
une sorte de saccade,
et sans y penser je crie.

De me retrouver ainsi
c'est une si rude épreuve,
loin de mon giron chéri.

Le temps passe, infini;
il s'égrène en chapelet,
j'en suis encore ébloui.

Mais ressens la nostalgie
de cette eau originelle,
la genèse de ma vie.

GALIA

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Il n'y a pas de chemin qui mène au bonheur....
....le bonheur est le chemin.