LA BAS
Sans que rien ne traverse l’espace indélébile
Sans qu’aucune lueur ne traverse mes cils
Sans un regard perdu, un sourire glacé
Un regret éternel, un sanglot étouffé
Je m’en vais là ou tout m’attend
Ou tout est bleu tout le temps.
LĂ bas.
Porté par le souffle de mes pensées d’amour
Je planerai au-dessus des neiges Ă©ternelles
Dans la pureté de l’astre flamboyant de lumière
L’espace illuminé de paillettes enchantées
Le cœur qui n’en peux plus de bonheur partagé
Qui voudrait à l’envie hurler toute sa joie d’Être
Baigné par un parfum de rose et de lilas
Contrainte de tous les sens a jamais disparue
Libre dans son élan d’atteindre enfin les nues
Revenu Ă lui mĂŞme en toute connaissance
Entier, plein et vide Ă la fois
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