Une vie où finalement la liberté dirige,
Aucunes contraintes pour te dire quoi faire.
Ton quotidien, c’est toi qui te l’érige,
Et de toi tu éloignes toutes les barrières.
Et dans cet élan d’indépendance
Finalement de personne tu ne veux dépendre.
En aucune manière ta façon de penser tu ne veux changer,
Ni même tes habitudes tu ne songes à modifier.
Tu fais celui que rien ne peut atteindre
Comme si de tout tu te foutais.
Ton cœur j’ai essayé d’étreindre
Mais dans ta vie personne ne peut pénétrer.
De beaux mots tu m’as conté,
Comme celui qui disait que tu m’aimais.
J’ignore si tu avouais une vérité,
Une vérité dont tu voulais surtout te persuader.
Je ne sais plus que faire pour t’amener à réagir.
Tu crois que les défauts je suis seule à les détenir.
Lettre et appel ne suffisent pas à t’interpeller
Puisque tu ne daignes même pas m’en parler.
Et moi je t’aime, je t’aime sincèrement
Et ton être se glace un peu plus à chaque instant.
Je sens que tu t’éloignes à grands pas
Sans que je ne sache comment te ramener vers moi…
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On a des mOts pour dire une peine légère,
Mais les grandes dOuleurs ne savent que se taire...