Personne ne m'a vue.
J'avançais lentement,
Perdue en dédale
Gardant mon vieil élan.
Parcourais au hasard
Allées aux sombres haies
Où poussaient, fragiles,
Violettes étiolées.
La statue de marbre
Tenait miroir brisé,
J'aperçus l'image
De mon âme fêlée.
Sur le banc de marbre
On me trouva endormie,
Sans posséder la clé
Ne trouvais la sortie.
GALIA
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Il n'y a pas de chemin qui mène au bonheur....
....le bonheur est le chemin.