Face à lui le soleil brillait,
Derrière lui une ombre venait
Qui, obstinément, le suivait.
Il pressa le pas, amusé,
Essayant de la distancer.
Mais il la sentit s'approcher
Au moment où il s'arrêtait.
Il la vit tapie à ses pieds
Et imagina, angoissé,
Qu'elle l'avait immobilisé.
Il s'enfuit alors effrayé,
Se retournant pour vérifier
Qu'elle s'était évaporée.
Puis il respira rassuré,
Car le soleil s'était couché.
GALIA
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Il n'y a pas de chemin qui mène au bonheur....
....le bonheur est le chemin.