Hâtons-nous...
Hâtons-nous braves gens de voir mourir la France,
Quand tout les arbres verts aurons pris le ciment!
Avec toutes ces puces emplissants leurs entrailles!
Cerner par une évolution de traçabilité,
Prendra pour tout les temps le droit de s'éffacer.
Bougez-vous pauvres gens! Et qu'il reste pour l'homme,
Des privilèges opaques détrônant le Mont-Blanc.
Pour que les beaux tunnels s'embranchent aux méandres,
D'une jolie marmaille oubliant les batailles et navires cassés.
les puissants destroyés aujourd'hui de férailles,
Puissant d'un coup, d'un seul! Apporter l'artifice patientent.
Approche ! Guerre infâme et salut d'une flamme,
Pour me faire manquer tous les nouveaux virus.
J'aprouve de nos jours la qualitée unique d'une bombe atomique.
Laissant aux vieux canons tout les résonnements,
Aux services accomplis pour guerre de cent ans.
La communication se fera plutôt rude,
Lorsque ce grand manteau se couvrira de sang.
Et la vague sacrée laissera le prélude,
Aux organisateurs de la belle manoeuvre.
Je pense donc je suis le couillon des lecteurs,
Avouant ne pas lire les lignes de la main,
Mais à quoi servirais-je ,si je ne veux pas dire,
Que j'écris maintenant pour moi et pour moi seul!
Je fume en abondance car l'on ma convier,
A suivre la tendance de la mortalité.
Et à travers mon cercle entouré de grisaille,
Je vois déjà la pointe, le début de la faille,
De la cotisation expirant de mon nez.
C'est le prix d'une bombe que je me suis payé.
Pour en fabriquer d'autres, Je vous laisses le choix.
D'investir, braves gens, Travailler pour l'état.
Acheter tous des clopes, Et bien, rouler voilà !
C'est la traite des vaches, Sans répis pour la suite,
La retraite ne sera même pas une fuite.
Hâtez-vous braves gens de faire n'importe-quoi!!!!
Détruisons la planète et ne m'oublier pas.
Le saphir; L'emmeraude; Le rubis de combat.
Des pierres venant de Gaulle pour conduire au trépas.
Un super porte-avion, quatre beaux éléments,
Faut montrer qu'en Europe les pays sont pesant.
Pour des milliards, les gens construisent forteresses.
Je pense simplement aux formes de faiblesses.
Celle-ci en est une, mais je reste désarmé.
Face à Charles, je fuis suivant les naufragés.
Son moteur nucléaire c'est une Hâche de guerre.
Ma protectrice à moi resurgit de la terre.
Je fume et je consumme la plante des Indiens,
Et l'ironie du sort ! Se chargera des miens.
Dd.
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Les choses ne sont pas toujours ce qu'elles semblent être.
Elles ne sont certainement pas ce qu'elles sont !
Vive l'évolution!