Me voici enfin de retour
A Montpellier, terre natale.
La maison où j'ai vu le jour
Est là, ça fait tout drôle

Me voici de retour à la terre
Héraultaise, terre natale
Les souvenirs cavalent
Du passé vers ma mémoire

Et un train passe toujours
A côté de ma maison natale
Comme le temps inexorableDdepuis que j'ai vu le jour

Je m'en vais de ma ville natale
Et du train je peux voir nostalgique
Solide imperméable au temps inique
Les trois étages de ma maison natale


27 10 1985



M e voici revenu dans ma ville natale
O h souvenirs soudain vous immergaient
N e soyez pas par pitié trop imagés
T enter que je me rapelle la ruelle
P ortant le nom d'un chevalier Breton
E t où j'ai vu le jour au mois de mai
L e numero huit un immeuble en béton
L e temps passe mais le souvenir jamais
I l y a toujours la grande voie ferrée
e t ma maison natale emoi enterrés
R èsistante aux promoteurs affairrés
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:Le crocodile amorphe aux levres de corail descend sans se presser la rue de montmirail




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