La ville ignore l'odeur des chevaux,
oubliés la pierre, le feu et l'eau,
le vent du soir qui nait dans les bois.
Pauvre Homme en l'urbanité si dure,
il gémit et sa douleur perdure,
enfermée dans le béton et l'acier.
Il ne sait plus rien du parfum des fleurs,
d'oiseau en son nid, du ciel en splendeur,
confondant la lune et le froid néon.
Puis viendra un jour la fin de son temps,
et les forêts la ville envahiront,
murs seront terre, les vitres sable.
Redeviendront sentiers les trottoirs gris,
les clairières surgiront éblouies
où se dressent aujourd'hui les places.
GALIA
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Il n'y a pas de chemin qui mène au bonheur....
....le bonheur est le chemin.