Je suis comme un fleuve qui perd son rivage
Quand en mélancolie tu envahis mon coeur,
Je te voudrais présent au milieu de mes peurs
Quand de nos souvenirs surgit ton visage.
L'absence me brûle en gigantesque feu,
Ma pensée dérive en passé lancinant,
Mon âme modèle d'incroyables printemps
Où je voudrais encor me mirer dans tes yeux.
M'aveugle la nuée de cette nostalgie
En ces heures grises quand meurt pour moi le jour,
Et qu'au bord du regard perle la tristesse.
Mais je sais qu'un matin la douce mélodie
Viendra bercer mes bleus de ce rythme d'amour
Qui a mis à ma vie hymne d'allégresse.
GALIA
----------------
Il n'y a pas de chemin qui mène au bonheur....
....le bonheur est le chemin.