Ce texte fut écrit en réponse à certaines accusations à l'égard de la gente masculine en général, sans tenir compte que certaines exceptions ne confirment en fait jamais une généralité.
A prendre au second degré, bien entendu.
L'étalon flamboyantEt dans la plaine et sur les monts
Caracolait, dans la montagne,
Un sublime grand étalon,
Rêve des juments de campagne.
Il s'en alla brouter les champs,
Même au-delà de son domaine,
Et lors, éprises, les juments
Se sentirent muées en hyènes.
De cabriole en cabriole,
D'une ruade saluant,
Entrait l'âme dite frivole,
Considérée prince charmant:
Alors dans un élan, la belle,
Emerveillée par cet amant,
Présenta non pas sa cervelle
Mais bien sa croupe pour présent;
L'étalon, qui se vit offrir
Ce qu'il n'avait pas demandé,
Accepta, lors, de s'introduire
En l'intinéraire frayé...
Lorsqu'il eut fini son affaire
Et qu'il fut sorti, remercia
Celle qui offrit son derrière
A l'étalon qu'il n'était pas.
Il repartit dans les vallées
Et rencontra autre jument
Qui la cervelle mieux placée
L'intéressa tout autrement...
Moralité:
Une jument présentant son derrière
N'obtiendra nul autre étalon
Que celui qui, voyant l'affaire,
Osera baisser pantalon...
Alain
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c'est toujours quand il est parti qu'on se rend compte que le bonheur était là !