Bondissantes sont mes pensées,
Ce n'est pas un songe, tu es réalité,
De nos dialogues, nos secrets avoués,
Délice de nos futurs rêves à partager .

Pudeur de nos premiers instants,
Nous nous cherchons hésitants,
De ma timidité oppressante,
Tes sourires très rassurants .

Doucement tu te livres,
En rappel à mes dérives,
Frère et sœur jumeaux,
Dans la peine de nos maux .

De ce grand démon qui est l'amour,
Nous espérons voir naître des beaux jours,
Dans des envies de désirs fous,
Discutant ensembles de nos émois en remous.

Le soir quand paraissent tes premières lueurs,
Mon esprit s' enveloppe de ta chaleur,
Je me fonds dans ton aura, vivant ainsi le bonheur,
Tendrement offert la nuit par mon visiteur .LMP

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L'homme raisonnable s'adapte au monde, celui qui est déraisonnable persiste à vouloir adapter le monde à lui-même.

Aussi tout progrés dépend de l'homme déraisonnanble;

Georges Bernard Shaw.