C’est quand on trouve le tendre bonheur
Que les amis les plus chers disparaissent
On pense que, pour eux aussi, leurs cœurs
Se réjouiront d’une telle allégresse

D’amitié sincère je suis en quête
Peut-être est-elle plus inaccessible
Que le temps des exquises et vives étreintes
Que les chaleureuses douceurs habiles

Alors mon ami tu tournes le dos
Sans pouvoir te soucier de mon sourire
Parce que quelqu’un est arrivé trop tôt
Pour que tu puisses si vite t’enfuir

Pensant passer ma vie à t’écouter
Tu préfères ne pas avoir souri
A celui qui t’as sans doute volé
Une partie du cœur de ton amie