Coup de balai dans ma tête,
Je sens que tout se démêle
Me reviennent les ritournelles,
Ma bonne humeur me rappelle .

Plus de larmes, plus de cris,
Mes maux dans les abîmes,
Me reviennent les sourires ,
Petits cadeaux en prime .

Et je ris de me voir amusée
de ma bonne humeur retrouvée,
Dû à mon caractère bien trempé,
Et me délecte de ses bons côtés.

Alors au clair de lune mon ami Pierrot,
Ouvre-moi les portes pour écrire les mots,
Ma tristesse est morte, je n'ai plus de bleus,
Prête-moi ta plume pour peindre mes vœux .

Et je changerai les couleurs du temps,
Dans les déserts je peindrai l'océan
Dans les têtes, le soleil toujours présent,
Les chagrins envolés dans de puissants vents

Un, deux , trois, nous n'auront plus froid,
Quatre, cinq, six, les peines seront guéries,
Sept, huit neuf, pour des paysage tout neufs,
Dix, onze, douze, la vie sera plus douce ! Patricia

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L'homme raisonnable s'adapte au monde, celui qui est déraisonnable persiste à vouloir adapter le monde à lui-même.

Aussi tout progrés dépend de l'homme déraisonnanble;

Georges Bernard Shaw.