Soufflée par le vent des ressentis, portée par l'océan des mots,

Vous décrire non pas ses abîmes, mais sa beauté sous les flots,

Laissez vous bercer par ses rimes et déposer vos fardeaux,

La poésie est une véritable amie, elle panse nos maux.



Si je pleure, de ses larmes naitra ses aquarelles,

Si je ris, elle me vête de ses délicieuses dentelles,

Agréable compagne pour messires et dam-oiselles,

Ses romances font naître de belles ritournelles.



De nos vies qui sans cesse s'emmêlent,

Elle jaillie sur terre comme dans le ciel,

Mon refuge, ma liberté, ma princesse

Sur tes ailes, j'aime déclamer avec aise.



Rendre hommage à ma douce amie,

Toi qui m'as conquise et envahie,

Avec toi, tendresse et douceur de vie,

Généreuse, tu nous éternises par les écrits.



S'enivrer de toi et boire jusqu'à la lie,

Le plaisir des mots en guise de maladie,

De Hugo, Molière, Racine et autres aussi

Ensemble pour que perdure la poésie. Patricia

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L'homme raisonnable s'adapte au monde, celui qui est déraisonnable persiste à vouloir adapter le monde à lui-même.

Aussi tout progrés dépend de l'homme déraisonnanble;

Georges Bernard Shaw.