Dans l'émotion des mots , je cherche ton nom ,
Souffle coupé m'asphyxiant de ta présence !
Quand tu es à moi , j'ai une peur profonde,
De te fuir pour mieux garder tout mes sens!
Je ne puis pourtant me séparer de toi,
sans ressentir la morsure du désarrois !

Je me regarde essayer de t'apprivoiser
Trouver la clef qui consolidera cette faille
Qui veut que " sans ou avec " la douleur soit !
Je te tends la mains , j'attrape ton bras ,
Je voudrai me blottir tout contre toi ,
Vivre la sensation de nos retrouvailles
Stopper le temps pour nous laisser le sentiment
De s' aimer dans l' éternité des instants!

Je t'écoute avec mes yeux ,
je te devine à la voix de ton cœur
te sens par ton esprit douceur
Qui me donne l'ivresse de mes vœux ,
Et la soulerie philosophique
De ta fièvre bien sympathique

Où es-tu ?
là à mes côtés , là-bas en vue,
Pas si loin mais encore invisible,
Où existes-tu ?
Parce que je t'ai voulu !

J'ai beau te maudire , te snober , faire des pieds -de- nez ,
Je connais les sens profonds de ton nom pour ne pas oublier,
Je promets de ne pas chercher à t'échapper, te laisser t'envoler,
Ton chant a trop manqué à mes nuits et matins,
Seule dans mes draps de solitute et de chagrin,
Je te vois dans les tableaux de vie et moi,
LamusePaty ne sais pas faire sans émoi.

Alors même si je reste gauche où indécise,
Sur mes engagements envers toi ,je précise,
Facile de déclamer des" je t'aime "du soir au matin ,
Et de ravager sans regret ni remords les jardins
Où pousser les fleurs d'amour de nos destins. Patricia

Mai 2008

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L'homme raisonnable s'adapte au monde, celui qui est déraisonnable persiste à vouloir adapter le monde à lui-même.

Aussi tout progrés dépend de l'homme déraisonnanble;

Georges Bernard Shaw.