C'est étrange mais ma première impression ne me trompe jamais. Je crois deviner ce phénix que tu côtoies. La vie est pleine de similitudes partagées par les hommes qui s'y identifient
"Les peines que les hommes t’ont infligées,
Leur traîtrise sauvage, leur abus de loi,
Devinrent une essence qui irrigue ta foi
Et croire en leur bonté, tu te sens obligé "
OUI parceque ton phenix ne vois que la bouteille à moitié pleine. L'autre moitié ne l'intéresse pas.
C'est toujours bien de séparer le bon grain de l'ivraie.
J'ai beaucoup apprécié ce poème qui m'a enchanté. Puisse Dieu préserver ta verve spontanée Rachid.