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Elle ouvrant enfin ses volets, lui ses persiennes, Au fond de leurs yeux les traces de leurs peines De ce ciel de plomb sur leur tête, jamais un sourire, Image de deux solitudes prisonnières des soupirs. Le soleil ce coquin, entre dans la partie, "Nul ne peut-être coupable de sa solitude" " Vous ne pouvez prendre de telles attitudes" D'un rayon de lumière, il les ébloui. Chacun son cheminement, ils écrivent au grès du vent, Est-ce ses mots dévoilant ses pénibles tourments, Et lui son air intimidé où elle devine sa pensée Leurs regards se sont croisés, ils se sentent attirés. Deux solitudes yeux dans les yeux viennent de s'achever, Ils ont décidé de ne plus fermer persiennes et volets Quelques coups de balai pour nettoyer les mauvaises idées, Ils aménagent ce nid affectif de désirs et volupté Ensemble ils ne réviseront pas les leçons du passée, Ils imaginent un présent laissant leurs maux s'apaiser, De ces quelques efforts donnés, un signe du destin, Savoir se lancer et accepter sans provoquer la fin . Patricia
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