Vos yeux envoûtants lorsque vous nous parlez,
D'écouter et vous apprécier nous ne saurions avouer,
De vous voir vous embraser et enthousiasmer,
Notre prudence est de nous mettre en retrait
Et sans cesse voir se répéter
De vouloir vraiment vous aimer,
Coupables désignées vous nous tenez,
Cessez donc de nous tourmenter .
Car si il y a bien une chose enregistrée,
Souvent avec vos démons vous cohabitez,
Vers nous, vous vous avancez pour vous rassurer
Devant nous, vous vous enfuyez de vous regarder.
L'amour de l'âge mûr vous craignez,
Croire en ceux du passés vous rêvez,
Hélas la vie n'est point un conte de fée
Juste les expériences des années .
Et quand sonne pour vous l'envie d'aimer,
Devant notre gentes vous vous dérobez
Vous comprendre et se taire vous nous imposez,
Voilà de piètres manières de partager .
Entre nous quelle est donc cette idée,
De conquérir et ainsi vous flatter,
De savoir séduire sans vous engager
Réalité pour ceux qui ont peur de s'aimer. Patricia
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L'homme raisonnable s'adapte au monde, celui qui est déraisonnable persiste à vouloir adapter le monde à lui-même.
Aussi tout progrés dépend de l'homme déraisonnanble;
Georges Bernard Shaw.