Le ciel, qui craint temps d’orage,
S’est caché sous les nuages
Qui éclatent en tonnerre
D’ultime charge guerrière.
Le fracas sème la terreur,
Le jour s’enfuit tout en pâleur
De lumière qui n’éclaire
que des ombres solitaires.
Quelqu’un souffre dans l’infini,
Le gémissement de son cri
Se confond à la matière
Noyée en gouttes amères.
Le vent entraîne heures du temps
Portant souvenirs et tourments.
Quelle âme au ciel solitaire
Pleure ces larmes amères ?
GALIA
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Il n'y a pas de chemin qui mène au bonheur....
....le bonheur est le chemin.